Que je t’aime ( Johnny Halliday )

Quand tes cheveux s’étalent , comme un soleil d’été,

Et que ton oreiller ressemble au champ de blé,

Quand l’ombre et la lumière dessinent sur ton corps

Des montagnes, des forêts et des îles au trésor,

 

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime,

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime

 

Quand ta bouche se fait douce, quand ton corps se fait dur,

Quand le ciel dans tes yeux, d’un seul coup, n’est plus pur,

Quand tes mains voudraient bien, quand tes doigts n’osent pas,

Quand ta pudeur dit non, tu doutes un peu plus fort

 

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime,

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime

 

Quand tu n’ te sens plus chatte et que tu deviens chienne,

Et qu’ à l’appel du loup, tu brises enfin tes chaînes,

Quand ton premier soupir se finit dans un cri,

Quand c’est moi qui dit non, quand c’est toi qui dit oui,

 

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime,

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime

 

Quand mon corps sur ton corps, lourd comme un cheval mort,

Ne sait pas, ne sait plus s’il existe encore,

Quand on a fait l’amour comme d’autres font la guerre

Quand c’est moi le soldat qui meurt et qui l’appelle,

 

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime,

Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime

 

Que je t’aime,

Que je t’aime,

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Sang pour sang ( Johnny Halliday )

J’ ai pas toujours trouvé les mots

Pour bercer tes rêves d’enfant,

Ensemble, on est devenu grands

 

De bons points en double zéro,

Paralysés par tant d’amour,

On s’apprivoise, au jour le jour

 

J ’ai jamais su trouver les gestes

Qui pouvaient soigner tes blessures,

Guider tes pas vers le futur

 

A tous les signaux de détresse,

Dis, comment j’aurais pu faire face,

Pris entre le feu et la glace

 

Au-delà de nos différences,

Des coups de gueule, des coups de sang,

A force d’échanger nos silences,

Maintenant qu’on est face à face,

On se ressemble sang pour sang

 

Comme si les battements de nos coeurs

Etaient sur la même longueur d’onde,

Les lignes de nos mains se confondent

 

Tu me renvois comme un miroir

Mes doutes et mes éclats de rire

La promesse d’un autre avenir

 

Peu importe si la vie menace

Ce qui reste en nous d’innocent,

Puisqu’on se comprend à présent

 

Peu à peu, la douleur s’efface,

On n’en garde plus qu’une trace,

Comme une offense au temps qui passe

 

Au-delà de nos différences,

Des coups de gueule, des coups de sang,

A force d’échanger nos silences,

Maintenant qu’on est face à face,

On se ressemble sang pour sang

Au-delà de nos différences,

A force d’échanger nos silences,

Maintenant qu’on est face à face,

On se ressemble sang pour sang

 Tous les deux, sang pour sang,

Tous les deux, sang pour sang,

Tous les deux, sang pour sang,

Tous les deux

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Maj 23/07/2003