Comme toi ( Paroles musique : JJ Goldman )
Elle avait les yeux clairs et la robe en velours
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Confidentiel ( Jean-Jacques Goldman )
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire,
Resteront près de moi, sur mon chemin
Te dire que c'était pour de vrai,
Tout c'qu'on s'est dit, tout c' qu'on a fait,
Qu' c'était pas pour de faux, que c'était bien
Faut surtout jamais regretter,
Même si ça fait mal, c'est gagné,
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
J' vais pas te dire qu' faut pas pleurer,
Y'a vraiment pas d'quoi s'en priver,
Et tout c' qu'on a pas loupé, le valait bien
Peut-être, on se retrouvera,
Peut-être que, peut-être pas,
Mais sache qu'ici-bas, je suis là
Ca restera comme une lumière,
Qui m' tiendra chaud dans mes hivers,
Un petit feu de toi, qui s'éteint pas
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Dors, bébé, dors, ( Paroles musique : JJ Goldman )
Dors, bébé, dors,
Bébé, dors, il pleut dehors,
Dors encore
Dors, bébé, dors,
Bébé, dors, il pleut dehors,
Dors encore
Il n'est pas tard et le matin
S'est perdu sur son chemin,
Il nous reste quelques heures
Avant que la nuit ne meure
Dors, mon amour, dors,
Mon amour, dors, il pleut dehors,
Dors encore,
Dors, mon amour, dors,
Mon amour, dors, il pleut dehors,
Dors encore,
Il n'est pas tout à fait demain,
Rien ne presse ce matin,
Il nous reste quelques heures
De quiétude et de tiédeur
Et moi, j'écoute les bruits de vos silences,
Dans notre îlot de chaleur et de confiance,
Quand le soleil sera là, vous partirez,
Parce que c'est comme ça
Autre part, autres combats,
D'autres que je ne connais pas,
Et je guetterai vos pas
Dors, bébé, dors,
Bébé, dors, il pleut dehors,
Dors encore,
Dors, bébé, dors,
Bébé, dors, il pleut dehors,
Dors encore
C'est tout juste l'aube et demain,
Paresse un peu c ematin,
Et moi, pendant que je veille,
Je surveille vos sommeils,
Si vous saviez comme vos sommeils
Veillent sur mes trop longues veilles
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Je te donne ( Paroles musique : JJ Goldman )
I can give you a voice
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Parler d'ma vie ( Paroles musique : JJ Goldman )
J'voulais t'parler d'ma vie, c'est rare quand ça m'arrive,
Un moment suffira, y a pas grand chose à dire,
Passé trente ans, et je sais, au moins j'imagine,
Je n'aurai jamais mon nom dans les magazines
Vois-tu, je suis de ceux que la foule rassure,
On ne peut être rien que parmi des milliers,
"Has been" avant d'avoir été, c'est un peu dur,
Ma vie, tout l'monde aurait si bien pu s'en passer,
Je te dis pas les peurs, les lueurs et les flammes,
Je te dis pas le sang qui fait cogner le coeur,
Je te dis pas ces moments si froids et si pâles,
Et son visage qui justifiait mes heures
Je suis le cours des choses, je vais où l'on m'entraîne,
Je suis de ces gens-là qui ne choississent pas,
Tu peux bien penser que ces vies sont des vies vaines,
Mais le hasard invente et colorie parfois,
Quand je pense à tout ça, ça m'colle la migraine,
Pourquoi vendre toujours quand y a tant à donner,
T'as beau m'expliquer qu'ça fait partie d'un système,
Il me faut bien des pilules pour l'avaler
Je te dis pas les peurs, les lueurs et les flammes,
Je te dis pas le sang qui fait cogner le coeur,
Je te dis pas ces moments si froids et si pâles,
Et son visage ...
Je te dis pas le sang qui fait cogner le coeur,
Je te dis pas ces moments si froids et si pâles,
Et son visage qui justifiait mes heures
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Pas l'indifférence ( Paroles musique : JJ Goldman )
J'accepterai la douleur,
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Puisque tu pars ( Jean-Jacques Goldman )
Puisque l'ombre gagne,
Puisqu'il n'est pas de montagne,
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli,
Puisqu'il faut apprendre,
A défaut de le comprendre,
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il,
Et puisque tu penses,
Comme une intime évidence,
Que, parfois, même tout donner n'est pas forcémment suffire,
Puisque c'est ailleurs,
Qu'ira mieux battre ton coeur,
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir,
Puisque tu pars
Que les vents te mènent
Où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous,
Puisque l'on ne peut t'aimer plus,
Que la vie t'apprenne,
Mais que tu restes le même,
Si tu te trahissais, nous t'aurions tout à fait perdu,
Garde cette chance,
Que nous t'envions en silence,
Cette force de penser que le plus beau reste à venir,
Et loin de nos villes,
Comme octobre l'est d'avril,
Sache qu'ici, reste de toi comme une empreinte indélébile
Sans drame et sans larmes,
Pauvres et dérisoires armes,
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur,
Puisque ta maison, aujourd'hui, c'est l'horizon,
Dans ton exil, essaie d'apprendre à revenir,
Mais, pas trop tard
Dans ton histoire,
Garde en mémoire
Notre au revoir,
Puisque tu pars
J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes,
Tout quitter sur un simple geste, mais tu ne l'as pas fait,
J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force,
Mais tout ce que je pouvais, ce n'était pas encore assez,
Pas assez, pas assez, pas assez,
Pas assez...
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TU MANQUES ( Paroles musique : JJ Goldman )
Ya des qualités de silence
Comme les étoffes ou le bois
Profonds, des courts, des immenses
Des que lon nentend presque pas
Coule la pluie, cheveux et veste
Mouille ce qui ne pleure pas
Marcher le long de rues désertes
Tu me manques pas à pas
Tu me manques
Si tu savais
Tu manques
Tant
Plus que je ne laurais supposé
Qui ne tient, pas même au vent
Prendre un taxi, tourner les pages
Féliciter, battre des mains
Faire et puis refaire ses bagages
Comment allez-vous, à demain
On apprend tout de ses souffrances
Jai su une ou deux choses après toi
Le pire est au bout de labsence
Je suis plus vivant que je crois
Tu manques
Si tu savais
Infiniment,
Tout doucement
Plus que je nen manque
Que jamais
Quand je me perds de temps en temps
Danger, dit-on
La lune est pleine,
De vide aussi, parfois
Invisible à qui manquerait-elle
Peut-être à dautres
Pas à moi
Tu manques
Si tu savais
Tu manques
Drôlement
Tu manques
Drôlement
Tu manques
Tu manques
Si tu savais
Tu manques
Tant
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Veiller tard ( Paroles musique : JJ Goldman )
Les lueurs immobiles d'un jour qui s'achève,
La plainte douloureuse d'un chien qui aboie,
Le silence inquiétant qui précède les rêves,
Quand, le monde disparu, on est face à soi
Les frissons où l'amour et l'automne s'emmêlent,
Le noir où s'engloutissent notre foi, nos lois,
Cette inquiétude sourde qui coule en nos veines
Qui nous saisit même après les plus grandes joies,
Ces visages oubliés qui reviennent à la charge,
Ces étreintes, qu'en rêve, on peut vivre cent fois,
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines,
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces paroles enfermées que l'on n'a pas su dire,
Ces regards insistants que l'on a pas compris,
Ces appels évidents, ces lueurs tardives,
Ces morsures aux regrets qui se livrent à la nuit
Ces solitudes dignes au milieu du silence,
Ces larmes si paisibles qui coulent inexpliquées,
Ces ambitions passées mais auxquelles on repense,
Comme un vieux coffre plein de vieux jouets cassés
Ces liens que l'on secrète et qui joignent les êtres,
Ces désirs évadés qui nous feront aimer,
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines,
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
Ces raisons-là qui font que nos raisons sont vaines,
Ces choses au fond de nous qui nous font veiller tard
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Maj 29/04/2004