Parce que tu pars ( Lara FABIAN )
Tout ne rime à rien , quand on a même plus peur,
Toutes les raisons de rester si on est à l'heure,
Rien ne te retient, surtout pas le bonheur
Que tu ne cherches plus, c'est plus l'heure
Je suis là pour ne pas regretter l'absence
Des mots et des liens qui empêchent le silence,
Dis-moi s'il te plaît ce qu'on verra trop tard,
Le dernier aveu est-il ce regard ?
Parce que tu pars, parce que tu pars,
On restera brisés devant l'irréparable,
Parce que tu pars, parce que tu pars,
On étreindra tout contre soi l'intolérable,
Parce que tu pars,
Je veux que cet échec prépare ton avenir,
Ce qui t'aura pris la tête, oublie-le pour te choisir,
Et si tu veux bien, on cassera la gueule
A ce coup du destin qui rend seuls
Parce que tu pars, parce que tu pars,
On restera brisés devant l'irréparable,
Parce que tu pars, parce que tu pars,
On étreindra tout contre soi l'intolérable,
Parce que tu pars,
Parce que tu pars,
Parce que tu pars, parce que tu pars,
On questionnera chaque journée inévitable,
Parce que tu pars, Parce que tu pars,
On étreindra tout contre soi l'intolérable,
Parce que tu pars,
Parce que tu pars
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Tu me manques, y a rien à faire,
Tu me manques, pas de mystère,
Pourquoi ce coeur fracturé
Ne peut se détacher,
Ton image est crevée,
Mon rêve s'est envolé,
Dans un écrin de soleil
La vie ou la pluie, c'est pareil,
Tu me manques, j'y crois encore
Tu me manques, l'amour est fort,
Comment pourrais je accepter
Que le ciel vient de tomber ?
Tu me manques, ça va passer,
Tu me manques, je suis déchirée,
Je ne trouve que ces mots-là
Pour dire "je t'aime cent fois"
Tous les jours agrandissent
Ce petit mot d'amour,
Celui qu' j'avais construit
Pour toi, jour après jour,
J'aurais voulu te dire les mots qu'on ne dit pas,
Apprendre à les écrire, te les chanter tout bas,
Tu me manques trop tard le soir,
Tu me manques, je garde espoir,
Je sais que quelqu'un là-haut
Nous a porté ce soir,
Nous a laissé le temps,
Le temps d'un sentiment,
Même s'il arrive souvent,
Fait battre mon coeur à contretemps
Tu me manques, as-tu compris ?
Tu me manques, j'ai froid la nuit,
Montréal ou Paris,
Où es-tu, trop loin d'ici ?
Tu me manques, je te l'ai dit,
Tu me manques, je te le crie,
Je ne trouve que ces mots là
Pour te dire "je t'aime cent fois"
Tu me manques,
Tu me manques,
Tu me manques,
Tu me manques
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Avec le temps, avec le temps, va, tout s'en va,
On oublie le visage et on oublie la voix,
Le coeur quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps, avec le temps, va, tout s'en va,
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie,
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard,
Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit,
Avec le temps, tout s'évanouit
Avec le temps, avec le temps, va, tout s'en va,
Même les plus chouettes souvenirs, ça t'as une de ces gueules,
A la galerie, j'farfouille dans les rayons d'la mort,
Le samedi soir, quand la tendresse s'en va toute seule
Avec le temps, avec le temps, va, tout s'en va,
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien,
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux,
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous,
Devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens,
Avec le temps, va, tout va bien
Avec le temps, avec le temps, va , tout s'en va,
On oublie les passions et on oublie les voix,
Qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens,
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps, avec le temps, va , tout s'en va,
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu,
Et l'on se sent glacé dans un lit de hasard,
Et l'on se sent tout seul, peut-être, mais peinard,
Et l'on se sent floué par les années perdues,
Alors, vraiment,
Avec le temps, on n'aime plus
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On s'était dit (Michel FRANCOISE)
On s'était dit, on s' ressemble trop,
On a les mêmes envies cachées sous la peau,
Jamais, jamais, jamais, jamais, on n'se f'ra du mal
On avait refait le monde un peu plus beau
On s'était juré comme on s'offre un cadeau
Jamais, jamais, jamais, on n'se f'rait du mal
S'il ne reste que des larmes, dans mes veines,
C'est que ton sang a coulé, en rivière, sur ma peine
On s'était dit le premier là-haut,
S'ra sûrement aussi bien qu'un poisson dans l'eau
Et jamais, jamais, jamais, jamais, l'autre n'aura mal
On s'était dit les mots les plus beaux,
Ceux qui restent accrochés aux ailes des oiseaux
Pour que jamais, jamais, jamais, jamais, l'un de nous n'ait mal
S'il ne reste que des larmes, dans mes veines,
C'est que ton sang a coulé, en rivière, sur ma peine,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
On s'était dit, on s'ressemble trop,
Et tout s'écroule et tout s'écrase de si haut
que jamais, jamais, jamais, jamais, j' n'ai eu si mal.
S'il ne reste que des larmes, dans mes veines,
C'est que ton sang a coulé, en rivière, sur ma peine,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
J' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais, j' t'aimais,
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Maj 25/07/2003