Chaque fois qu'une femme part,
Chaque fois qu'un homme est parti,
Un amant reste sans histoire,
Une amoureuse laisse sa vie
Et quand vient le dernier orage,
Quand tout est fini,
L'un ou l'autre rentre dans sa cage,
Le silence recouvre ses cris
Et on aime encore plus fort,
A saigner de tout son corps,
Et on aime encore plus fort,
Come un naufragé sans prendre la mer,
On peut se noyer
En restant sur terre
Chaque fois qu'un slow nous déchire
Pour un souvenir du passé,
Chaque fois qu'on prend l'avenir
Comme un sale moment à passer
Quelque chose toujours nous ramène
Là où l'autre nous a laissé,
Quand certaines étreintes appartiennent
Aux gens plus longtemps que s'aimer
Et on aime encore plus fort,
A saigner de tout son corps,
Et on aime encore plus fort,
A saigner de tout son corps,
Et on aime encore plus fort,
A saigner de tout son corps,
Et on aime encore plus fort,
A saigner de tout son corps,
Et on aime encore plus fort,
Come un naufragé sans prendre la mer,
On peut se noyer
En restant sur terre
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Comme une prière (
Fred BLONDIN )
Y'a plus d'amour dans sa chaumière,
Elle a pas choisi, c'est comme ça,
Depuis que le dernier a pris l'air,
Elle s'habitue, c'est déjà ça
Y'a bien des jours où ça fait mal,
Des nuits d'hiver un peu glaciales,
Alors, elle s'invente un décor,
Une histoire, puis s'endort,
Elle a déjà tellement donné
Sans jamais vraiment recevoir
Ecouter, câliner, pleurer,
Allant même jusqu'à ne rien voir
Aujourd'hui, elle est fatiguée,
Elle veut la paix,
Juste au moins ça,
Et certains soirs sur l'oreiller,
Coulent des larmes de pourquoi
C'est comme une prière,
Une bouteille à la mer,
Dans le gris d'un ciel ordinaire,
Rêver de ciel bleu et d'amour au soleil,
On n'sait jamais si la chance tournait
Même un peu ...
Elle rêve d'une lueur, d'un fou rire,
De voir la mer et s'endormir,
Elle veut du léger, de l'insouciance,
Donner à sa vie juste un sens
C'est comme une prière,
Une bouteille à la mer,
Dans le gris d'un ciel ordinaire,
Rêver de ciel bleu et d'amour au soleil,
On n'sait jamais si la chance tournait,
Mêm un peu ...
Un peu, un peu,
Un peu, un peu
C'est comme une prière,
Une bouteille à la mer,
On n'sait jamais si la chance tournait,
Mêm un peu ...
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Elle allume des bougies ( Charlélie Couture, interprété par Fred Blondin, )
Elle allume des bougies
Ou bien des calumets,
Comme une cérémonie,
Pour faire venir la paix.
Allumer des bougies
Pour ne pas oublier
Les âmes évanouies
Des victimes sacrifiées
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Comme un pilote abattu,
Qui veut tromper l'ennui,
Sur une île exigue
Ou dans le fond d'un puits,
S'élever
Ou partir en fumée
Comme les prisonniers
Qui rêvent de s'envoler
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Célébrer le passé
Pour ne pas disparaître,
Souffler les années
Et voir le feu renaître
Comme l'aura de sa vie
Oh Oh Oh Oh
Comme une liturgie
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Mini cierges bénis
Sur le bord d'une fenêtre,
Elle croit au saint-esprit,
Elle se dit que, peut-être,
Les étoiles dans la nuit
Scintillent sous la pluie,
Quand tout semble infini,
Elle allume des bougies
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies,
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies
Elle allume des bougies
Ou bien des calumets,
Comme une cérémonie,
Pour faire venir la paix.
Allumer, allumer,
Allumer, allumer,
Allumer, allumer,
Allumer, allumer,
Elle allume des bougies
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Je manque de toi (
Fred BLONDIN )
De ces étendues à perte de vue
Où j’ai choisi de poser mes valises
De cette nouvelle vie que j’ai voulue
Je manque de toi
De cet exil à l’autre bout de la terre
Mélange de soleil, de vent et poussière
Le silence est pire que des coups de lance
Je manque de toi
Je manque de ...
Je manque de toi
Je manque de ton sourire et de tes doigts sur moi
Je manque de tout ce que tu donnes de toi
Je manque de ton regard qui sait lire dans le mien
Je manque de tout ce qui me vient de toi
De tout ce qui me vient de toi
De ces hivers qui ressemblent à l’été
Où le temps pourrait passer sans qu’on le voit
De ces souvenirs trop lourds à porter
Je manque de toi
Je manque de ...
Je manque de toi
Je manque de ton sourire et de tes doigts sur moi
Je manque de tout ce que tu donnes de toi
Je manque de ton regard qui sait lire dans le mien
Je manque de tout ce qui me vient de toi
De tout ce qui me vient de toi
De ces étendues à perte de vue
Où j’ai choisi de poser mes valises
D’ici où je vis comme un inconnu
Je manque de ... toi
Je manque de toi
Je manque de ton sourire et de tes doigts sur moi
Je manque de tout ce que tu donnes de toi
Je manque de ton regard qui sait lire dans le mien
Je manque de tout ce qui me vient de toi
De tout ce qui me vient de toi
Ce qui me vient de toi
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Pas une larme ( Fred
BLONDIN )
Tu vas bientôt partir,
Les faits sont là.
Enfin, ne plus souffrir,
C’est déjà ça.
Je pense à toutes ces choses
Que l’on ne fera pas,
Aux bonheurs, aux merdes
Qu’on ne partagera pas
Mais ne coulera
Pas une larme,
Tu n’aimerais pas ça, je sais
Pas une larme,
Pas une seule, tu vois
Car si le paradis
N’existe pas,
Dieu l’inventera pour toi
J’ crois pas aux esprits, mais
On parlera
Sans faire tourner la table,
Tu m’aideras.
Oh, j’renonce même à comprendre
Au fond, pourquoi
Faut-il donc que ça tombe
Justement sur toi ?
Donc, ne coulera
Pas une larme.
Tu vaux mieux que ça.
Pas une larme
Pas une, crois-moi
Et puisque le paradis
N’existe pas,
Toi, tu l’inventeras
Oh non, ne coulera
Pas une larme,
Car je sais où tu vas,
Pas une larme,
Pas une, crois-moi
Car même si le paradis
n’existe pas,
Oh non, ne coulera
Pas une larme,
Pour un être comme toi,
Pas une larme,
Pas une sur moi,
Car même si le paradis n’existe pas
Oh, c’est là que tu vas
Pas une larme
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Maj 14/09/2003